rundarkCertains emplois du temps imposent un entraînement le soir ou la nuit, bref lorsque l’éclairage n’est pas présent (surtout en hiver où la baisse de luminosité intervient très tôt dans la journée).

Courir sans éclairage naturel suppose quelques précautions !

Le premier point est le repos. Si vous décidez de courir de nuit en dehors d’un stade, vous verrez moins bien les obstacles, les irrégularités du sol. La fraîcheur est très importante, car c’est elle qui permet à votre système nerveux  »réflexe » de s’adapter à ces irrégularités.

Ainsi, n’hésitez pas à faire une micro-sieste la journée pour ne pas démarrer votre séance d’entraînement en état de fatigue.

A côté de cela, si en plus vous allez courir en dehors de la ville (plage, montagne, campagne, forêt…), il vous faud un minimum d’éclairage. L’utilisation d’une lampe frontale est quasi-obligatoire.

La nuit, les températures sont basses, prévoir un équipement en conséquence est important. Pour éviter les déperditions de chaleur, gants et bonnet sont conseillés.

Protégez-vous du froid !

La nuit, lorsque la lumière disparaît, la température chute. Le froid n’étant pas un allié de la performance physique, notamment au niveau des articulations. Aussi, couvrez-vous, notamment les genoux et les chevilles. Par contre attention : les vestes trop chaudes empêchent l’évacuation de la chaleur, vous faisant prendre un risque. Ainsi, couvrez-vous intelligemment et non au maximum !

Et voilà, maintenant à vous de jouer.